A part bien entendu la qualité des services et des prestations, la plus grande valeur ajoutée d’une entreprise, ce sont ses collaborateurs. Quand de nouvelles recrues viennent enrichir l’équipe déjà existante, il faut compter un certain temps avant qu’elles soient opérationnelles à 100%. Il existe pourtant des solutions pour réduire ce délai.
Une intégration réussie pour produire plus rapidement
Chaque personne a besoin d’un temps plus ou moins long pour s’approprier la façon de travailler, les us et coutumes instaurés au fil des années au sein d’une structure. Selon les caractères et les personnalités, ce qui prendra quelques jours à une personne, peut prendre plusieurs semaines, voire plus pour une autre, point que doit prendre en considération les recruteurs pour un onboarding RH de qualité.
Le recrutement vise à gagner en visibilité, en productivité, mais certainement pas à ralentir le fonctionnement habituel d’une entreprise. Il peut donc sembler opportun de trouver des outils et solutions humaines pour que ce laps de temps entre le recrutement et le travail effectif soit de courte durée. Il est en ce sens important de mobiliser les équipes déjà en place et d’utiliser les soft skills de chacun pour que les nouveaux venus prennent leurs marques.
La crise du Covid-19 met certains employeurs face à leurs failles : il n’est plus question d’envisager le recrutement, ni même le travail en général comme avant. Il est important de se réinventer pour séduire des personnes qui sauront apporter leur nouvelle vision de l’entreprise, pour la faire évoluer.
Pourquoi faciliter l’intégration de ses nouveaux salariés ?
Les entreprises sont confrontées à plusieurs difficultés, lors des recrutements. Chacun d’entre eux signifie des lourdeurs au niveau administratif. Il faut en effet regrouper, présenter et signer bon nombre de documents inhérents à l’embauche.
L’intégration est à visée de production et de rentabilité. Pour autant, même si le nouveau collaborateur en a conscience, il voit aussi l’aspect humain qui entre en ligne de compte et qui motive son envie d’être fidèle à l’entreprise ou au contraire, de partir, à la faveur d’une structure plus accueillante ou offrant de meilleures opportunités salariales.
Pourtant, à salaire équivalent, le collaborateur choisira l’endroit où l’esprit d’équipe est le plus développé. Des personnes qui communiquent, qui s’entraident, grâce à des outils communs, sont la meilleure façon de faire comprendre au nouvel arrivant qu’il est bienvenu, attendu et que l’on fonde de grands espoirs sur lui.
A l’heure où 30% des salariés estiment que leur activité professionnelle est vaine, il est temps de remettre en avant le collaboratif, l’humain et le relationnel. Des outils, paradoxalement peuvent mettre cela en exergue pour que les salariés et les collaborateurs ressentent un bien-être au travail.
Cela ne ressentira forcément sur la qualité de leur travail et leur productivité. Les chefs d’entreprise ont donc tout à y gagner. Un salarié heureux est un salarié qui reste, ce qui permet de ne pas être confronté à la troisième difficulté : ne pas faire face à un turn-over incessant, forcément contre-productif.